Sei \Yankee/

PRÉSENTATION DE ...

• Nom : McCray
• Prénom : Sei
• Age : 16 ans
• Vampire ou humain : Humaine
• Classe | Métier :
• Pouvoir (si vampire noble ou sang pur) : Rien
• Arme (si chasseur de vampire ou préfet) : Rien

• Description physique :
La nature fait qu'il est commun de recevoir un héritage physique de ses parents. Certains se plairont à remarquer la forme du nez commune au père et aux fils, les fossettes hautes de la jeune fille rappelant son aïeul. Dans le cas de Sei, l'héritage est flagrant dans une communauté asiatique. En effet, elle est celle des trois enfants McCray à avoir le plus hérité du physique caucasien de son père américain. Sei arbore deux magnifiques yeux d'or, une chevelure blonde un peu ondulé ainsi qu'une peau pâle malgré les beaux jours. Ce physique d'étrangère lui valut d'ailleurs le surnom de Yankee dans sa ville natale. D'ailleurs, malgré les nombreuses teintures noires qu'elle s'est faite, ce nom lui reste collé à la peau.
Pour le reste, Sei à un physique des plus communs. Son visage fin aux traits parfaitement dessinés transparait par son teint blanchâtre. Parfois, un sourire vint étirer ses lèvres fines et rosées, laissant apparaitre une fine rangée de dent blanche. Ses yeux, deux billes d'or sont mis en valeur par de longs cils sombres, ajoutant une profondeur à ce regard perçant. Régulièrement, deux fines cernes viennent souligner ses yeux, tailladant sa peau cadavérique. Dissimulant son visage, des mèches quelques peu ondulé caressent ses joues. Ses cheveux, coupés court depuis quelques semaines, restent revêches aux allures frisé, avec de jolie ondulation telle une bonnes enfants. Leur blondeur naturelle est parfaitement dissimulée, leur offrant un éclat ténébreux.
Pour une vision plus générale, Sei ne porte rien d’extravagant, plus adepte du physique passe-partout. De taille moyenne, elle est douée d’un métabolisme envié, celui-ci lui permet de satisfaire sa gourmandise sans en payer le prix. Il faut dire que cela est favorisé par des heures de sports qu’elle effectue. Coureuse accomplie, elle s’exerce plusieurs fois par semaine, tout en pratiquant à titre de loisir d’autre activité. Ce besoin de se dépenser lui permet de jouir d’un corps musclé, aux traits dissimulé mais présent.
Sur le point de vue vestimentaire, vous verrez souvent Sei avec une robe ou une jupe sortant des uniformes standard. La jeune fille n'est plas très adepte des tenues quotidiennes, elle porte de temps en temps, un jean foncé, optant parfois pour des pantalons légers de tissus sombres. Elle ne se sépare pas de ses baskets ou bien de ses mocassins, loins de certaines collectionneuses lde talons de 8 centimètres. Durant l'hiver, l'adolescente n'est pas frileuse et peut se permettre de se balader en uniforme sans problème, par contre elle est très sensible à la chaleur qui l'insupporte et ne peut donc porter de grosse veste. Attirer part l'ombre des bâtiments, elle fuit toute source de chaleur, ce qui influe sur ses tenues. Durant le printemps et l'été, la jeune fille porte essentiellement des débardeurs et des chemisettes ou bien de simple marcel a rayure. Mais, sans suivre de mode ou d'ordre précis, elle se vêtit essentiellement selon ses envies du moment, parfois plus sérieuse un jour que l'autre, mais entrant rarement dans les rangs des petites filles modèles.

• Description mentale :
Rapport n°762, Patient Sei McCray
Dr Tanaka.

Sei McCray Sei a été envoyé chez moi suite de la mort de sa mère. Mort auquel elle a assisté jusqu'à la dernière minute. Je ne me suis pas occupée de son passé lorsqu'elle est entrée pour la première fois dans mon bureau. Ce qui m'a choquée, c'est ce regard, absente, elle n'a jamais semblé être réellement présente. Rêveuse, perdue dans un monde dont elle ne m'a pas laissé la clef. Le dialogue fut très difficile entre elle et moi, en effet Sei ne parle pas, ou peu, je n'ai dû entendre sa voix qu'une seule fois en huit mois de suivis. Mais cela ne l'empêche pas de s'exprimer par des moyens détournés, un crayon et du papier et elle se dévoile bien plus que certains de mes patients. J'ai eu le plaisir d'étudier ses dessins et ses textes. Un thème revient souvent, légume. J'ai cru au premier abord que cela était une représentation post-traumatique de la maladie de sa mère, mais au fil des semaines j'ai compris que ces dessins récurent représenter sa conception de la vie. Une chute longue parcourue de divers sentiments. La peur de la maladie. L'évènement. Le désir de retrouver un être perdu. L'absence. Tant de choses représentée dans cet mort symbolique.
Il y avait aussi la fuite. Sei est une adepte de se procédé, dès qu'elle quitte mon bureau elle court dans la rue. Encore. Toujours. Cette course qu'elle représente parfois est pour moi son désir d'aller vite, plus vite que la vie, plus vite que la mort. Une fuite vers l'avant pour échapper à ces choses qui l'emprisonnent, la famille, la situation, ses propres sentiments. Une citation de film revient souvent dans ses textes, leitmotiv incessant : « Vivre vite. Mourir jeune. Faire un beau cadavre ». Elle vit la vie au jour le jour, refusant de penser à l'avenir. Il a la certitude qu'elle ne vivra pas longtemps, qu'elle quittera ce monde jeune, de se faire elle refuse toute notion d'avenir ou de planification. Cela fait d'être elle est un être instable, imprévisible, ne supportant pas la routine, ses réactions sont difficilement prévisibles. Elle vit dans ce monde quelle façonne à ses désirs, jouant avec l'extérieur comme un enfant avec ses lego.
Ses réactions sont surprenante, elle se comporte souvent comme une brise, insaisissable si on tente de la toucher mais si on la laisse venir à soi elle se pose avec douceur. Mais cette douceur je n’ai pas eut l’occasion de la découvrir autre qu’à travers une fenêtre envers son frère ou sa sœur, j’ai put voir sa colère, sa rage, son sadisme, son sens de l’humour douteux, ses taquineries. Elle endosse les rôles comme on porte en masque, et pourtant, tout ce comportement semble former tout son être. Elle ne joue pas la comédie, elle est authentique, un caractère à la fois indéfinis et complet.
Son instabilité fait d’elle un être inadapté, ne trouvant sa place nulle part. Selon son dossier scolaire j’ai put remarquer une certaine adéquation avec son comportement dans mon bureau, distraite, dans ses pensées, jusqu’à ce que ses sursauts de conscience la prenne et la rende désagréable ou au contraire parfaitement sociable. J’ai aussi remarqué plusieurs accidents concernant une jeune fille de sa classe, en en parlant avec elle je vis la rage dans ces yeux. Ce qu’elle m’a dit me porta à la conclusion que ces gestes brutaux et blessant n’avait qu’un but, protéger cette personne de sa propre faiblesse et de la rendre forte. Cela montre un certain sens protecteur envers les autres, étrangement lié à la violence, l’indifférence, et des actions irréfléchies. Pour moi cela reste dans le personnage, Sei est capable de grand-chose sur le point de vue social et psychologique, mais elle reste dans le sillon de cette course effrénée qu’elle à entamer avec la vie.

• Histoire :
Le sursaut du wagon me tira de mes pensées. Le train. Sur les multiples moyens de transport que ce pays offrait il fallait évidemment que mon frère choisit de nous faire voyager par train. Des heures lassantes de trajets, des paysages identiques défilant sous mes yeux fatigués. Mes pupilles trop claires se posèrent sur la lune, léger croissant aux bords effacés apparaissant dans la pénombre. Je ne comptais plus les heures depuis notre départ. Départ. Déménagement. Tant de mot pour donner l’illusion d’une nouvelle vie. Vous me suivez ? Peut être pas… Expliquons...

Dans mon dictionnaire personnalisé, page 129, Déchéance, nom féminin singulier : fait de déchoir, de se dégrader. Synonyme : Sei. Ma vie n’est qu’une longue chute où je n’attends que l’instant brutal de l’atterrissage. L’histoire de ma vie aurait donné naissance à un roman subtile, psychologique et profond, mais dont la nature même d’autobiographie aurait put être remise en cause devant l’invraisemblance de tant d’événement dans une durée de seize année. Qu’est-ce que j’y peux moi ? Tout commença il y a donc seize ans, je suis la benjamine d’une famille heureuse, un cliché pitoyable de série télévisé. Des enfants sérieux, un père travailleur et aimant, une mère courageuse prête à donner sa vie pour ses enfants. Il manque juste la maison dans une grande prairie et un coucher de soleil en fond. D’après mon frère, qui ne rate jamais une occasion de me rappeler cette époque lointaine, j’étais durant mon enfance une de ces gamines chialeuse et apeuré. Disons que mes propres souvenirs de ces moments étaient cet écœurant bonheur dans lequel on baignait et cette sensation de peur constante. Peur du noir et de ses formes effrayantes, peur du monstre sous mon lit, du croquemitaine dans le placard, de perdre sa mère dans la foule, de se retrouver seule, de ces clowns et leurs maquillage ridicule et leur sourire faux, des orages effrayants et leurs éclairs funestes, de cette école où on m’abandonnait chaque jour sans que la certitude qu’on vienne me chercher le soir ne m’apaise. Quelle chieuse je pouvais être. Je me souviens aussi, faiblement, image faible dans un brouillard profond, de mes parents. Ils étaient mes héros, cendrillon et son prince, apaisant, rassurant, partageant leur courage avec la trouillarde que j’étais.
Ces parents là sont morts quand j’avais six ans. La gamine que j’étais est morte avec.
Ma propre déchéance commença avec celle de ma mère. Une simple grippe, plus féroce que les autres qui laissa des traces profonde dans la santé de cette chose qu’on voulait que je continue d’appeler maman. Du jour au lendemain la femme active devint se légume au creux de son lit, le teint cadavérique, le regard vide. Les adultes parlaient autours de moi, usant de mots compliqués que même à présent je ne comprenais pas. Dégénérescence. Faiblesse musculaire. En résumé voilà les symptômes de ce légume. Mes petits yeux d’enfant ne voyait à l’époque qu’un miroir effrayant. Dans son regard je voyais une peur indéfinissable, grouillant au fond de ses pupilles comme une bête craquée. Etait-ce la mort qui lui faisait ainsi peur ? Ce mot ne faisait même pas partie de mon vocabulaire à cette époque. Ces larmes qui noyaient ses prunelles aux éclats de rubis. Un miroir brisé. C’est ce que j’avais compris à l’époque. Elle était moi ! Cette chose sans vie n’était qu’une boule de peur et de peine. Sa me donnait envie de vomir. Mes derniers mots pour elles furent dit ce soir là, venimeux, enfantins. Ma voix assurée avait alors hurlé à ce légume qu’elle n’était pas ma mère. Simple et efficace.

Tout changea. Un épais trait noir venait de dégradé la photo de famille.

Je vais vous parler de mon père. Après l’apparition du légume, je ne voyais en lui plus qu’une forme chancelante, noyant sa peine dans des verres plus grand que lui. Et cela ne suffit plus. Alors que dans le lit conjugal se reposait le légume, lui ramenait chaque nuit une nouvelle maman dans la chambre de la nuit et la renvoyait sans vergogne le matin suivant. Les héros sont une illusion enfantine qui se désagrège en grandissant. Il n’était plus mon père non plus. Juste un ivrogne délaissant ses enfants pour ces femmes sans noms. Mon frère et ma sœur changèrent aussi. Moi aussi. Je ne pleurais pas. Je n’avais plus peur. Je ne voulais pas ressembler à cette forme sans vie que j’apercevais tout les jours. J’étais une inadaptée scolaire, pas très bonne élève, rarement concentrée, souvent insolente. Je restais assise, plantée sur cette chaise les pieds se balançant dans un rythme saccadé attendant la sonnerie salvatrice.
La vie repris son cours, partagé entre l’école et la maison. Entre ce monde d’éducation strict et enfermant et cet endroit où je grandissais assistant à la chute inévitable de ma famille. Mon seul instant de bien être. Cet instant où j’avais l’impression d’être à ma place, c’était à l'école... L'académie Cross, ignorant toute personne a son bord. Au courant de rien. Isolé au font de la classe à rêver du son de la sonnerie.

• Code (voir réglement) : Je serais la

VOUS

• Prénom (facultatif) : Sei'
• Age (facultatif également ) : environ 18
• Comment avez-vous connu le forum ? : Annuaire des forums
• Un petit commentaire ? : beau désign'

Bienvenue sur le fofo^^

Garde du corps de Kaname

Bienvenue ^^ Amuse toi bien x)

| Suivante de Lady Sara |

Désolée pour l'attente =/
Je vais demander à la fondatrice si je peux valider les présentations ! Si oui, je m'occupe de toi dès que possible !

Admin' | Sang Pur | Orpheline | Amoureuse de Kaname

J'arriiiiiiiive !
Bienvenue à toi jeune Humaine *croque*
Bon bon le Staff bande de paresseux je rentre de vacances et rien n'es validé ? è.é C'est quoi ce boulot ! Une si belle fifiche ! <3 J'ai beaucoup aimé ta description mentale avec le rapport du docteur =)
Pour moi rien a redire sauf qu'il manque une partie du code Reli le et tu trouvera c'est dans l'ordre et il te manque la dernière partie !

Kick-Sama <3

Désolée pour la lenteur de nous tous ._. Période vacances et surtout re faisage du fow.. xD

Edit -> Suuuiiis la pas la peine de demander !

Fonda' | Chargée de discipline | Fille du directeur

Apparemment, et c'est selon et grâce à un mp que nous avons pu le voir, il s'agit d'un plagiat. De ce fait, cette fiche va être supprimée et nous allons décider de ta punition.

Admin' | Sang Pur | Orpheline | Amoureuse de Kaname

Oui j'ai aussi eu ce message, j'ai voulu demander si la personne en question était sûre mais comme tout le monde a reçu un Mp c'est le cas. Pero je propose soit bannir son Ip ou qu'elle refasse une fiche.